D'après Verlaine chanté par Brassens
Sans doute la caresse de ses cheveux longs
Dans le frémissement des cordes du violon
Sous notre kiosque dansaient les dernières feuilles de l'automne
Nous étions là, coeur à coeur
Épousant nos pas sans éprouver la moindre langueur
Monotone
Combien était loin l'été suffocant
Et bruyant, quand
Je l'attendais, guettant son heure
Je me souviens
De cette petite chambre aux tableaux anciens
Dans la cour la fontaine qui pleure
Aujourd'hui notre lit est défait et je m'en vais
L'amour est souvent mauvais
Et c'est ce vide que j'emporte
Ballotté comme la barque, deçà delà
L'oublierai-je dans la
Valse des amours mortes ?