Le travail continue pour l'atelier buissonnier. Ce jeudi 12 Décembre nous avions rendez-vous avec la SOlitude de la Pitié et Ennemonde at autres caractères.
C'est, à grand renfort de chaleur et d'amitié, que nous nous retrouvâmes en campagne à Puget-Ville pour taquiner la plume. Après une immersion dans le prose poétique de Jean Giono avec la Main, tous déjà emplis de la musique et des images de la dernière séance où le monde de "Que ma joie demeure" avait fait irruption, nous avons écrit durant la matinée un texte sur les mains.
Quelques clichés surent titiller l'inspiration et nous amener, après la lecture et le repas pris en commun, à Ennemonde et ses ravages qui ne laissèrent pas indifférents. L'illustration des lithographies de Letellier dans Terre d'Or, commentée par Giono, servit de point d'appui pour le travail d'écriture de l'après-midi.
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On se rertouve après les fêtes le 8 Janvier, pour le Hussard, l'Homme qui plantait des arbres et les rois bien entendu.
Bonnes fêtes à toutes et à tous !
Publié le : Vendredi 13 décembre 2019 @ 14:41:27
Bonjour les amis !
Voilà l'automne installé avec ses clameurs d'orages et ses grandes venues d'averses. Nous avons retrouvé Jean Giono depuis deux semaines déjà et poursuivons notre immersion dans son univers qu'il construisait depuis son Paraïs.
La première séance du 24 Novembre nous a permis de mieux approcher l'écriture de Giono et la construction de ses romans avec la déambulation virtuelle de ses personnages autour de sa table où attendaient les plumes Nostradamus et l'encre bien noire.
Le montage d'un film absorbant plusieurs sources vidéo a montré l'homme, l'écrivain et sa maison de famille.
Nous avons écrit à partir de Provence et de Jean le Bleu.
Publié le : Jeudi 05 décembre 2019 @ 11:30:30
Blade Runner 2049
Il n’est de bon chemin , que celui qu’on veut prendre
et , dès le carrefour, il ne faut se méprendre
le ciel m’en est témoin, je l’ai pris au hasard
j’ai marché d’un bon pas, sans prendre de retard.
Publié le : Mardi 12 novembre 2019 @ 15:57:00
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Exposition Marc Jore. La Londe les Maures
Pourquoi je me sentais saisi, d’une angoisse grandissante, à la vue de cette photo, de Marc Jore.
une chaise lugubre, étrangement vide, une paire de menottes, accrochées au dossier, et en face, contre ce mur,
deux trous beants, insondables, aveugles.
Mais, où se situait cette scène.
mon imagination, me jouait-elle des tours?
non, j’en suis persuadé, nous étions à Auschwitz, ce camp de concentration immonde, où sont morts
dans des souffrances atroces, des juifs, des communistes, des homosexuels.
Cette chaise était forcément occupée par le Kapo, surveillant désigné, ou volontaire, des basses besognes.
Et, que dire de ces graffitis ridicules, qui sont une insulte, à la gravité des lieux.
j’ai quitté du regard, cette photo, qui me rendait mal à laise,et me suis tourné, vers d’autres images plus
attrayantes, tout en reconnaissant, le talent de l’artiste, puis, je suis reparti avec du vague à l’âme.
Objets inanimés, avez vous donc une âme ?
Publié le : Mardi 12 novembre 2019 @ 15:43:20
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Publié le : Dimanche 10 novembre 2019 @ 10:00:35