Quatre pour quatre. Semaine numéro 7.

Exercice: écriture et photographie.

Il convient d'écrire quatre strophes reliées à quatre photographies 

présentant une structure semblable et déclinant un thème commun.

Faites remonter vos textes via le site ( Ecrire un article )

Quatre pour quatre !  

Quatre pour quatre. Semaine numéro 6.

Exercice: écriture et photographie.

Il convient d'écrire quatre strophes reliées à quatre photographies 

présentant une structure semblable et déclinant un thème commun.

Faites remonter vos textes via le site ( Ecrire un article )

Quatre pour quatre !  

Y a quelque chose qui tourne pas rond !   (ALhazen)

Avec gravité
L'homme s'est épris de verticales plombées
Pour construire les cités
Où il se claquemurait
Derrière des murs épais
Porte et fenêtres déifiaient le droit
Cet angle précieux et digne de foi
Qui enfanta horizontale et zénith à la fois
Il donna les directions cardinales et leur croix.
D'une terre plate, Euclide en tira les lois !

Mais le domaine des dieux restait inssaisisable
Il fallut trouver le cercle et ses tables
Qui enfanta pour la sphère la perfection notable
Et de l'univers donna la forme probable
L'homme serait au centre, cela était inévitable.
Disques dorés, couronnes et rayons inestimables
Furent signes divins et icones adorables
Mais le périmètre du tour resta insondable
Laissant sa valeur incalculable
Pi, nombre divin, restait inatteignable !

Quatre pour quatre. Semaine numéro 5.

Exercice: écriture et photographie.

Il convient d'écrire quatre strophes reliées à quatre photographies 

présentant une structure semblable et déclinant un thème commun.

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Quatre pour quatre !  

Des chiffres et des lettres par Alhazen

Sont-ils nés de l'argile ?
Ces signes, nombres et puis lettres si utiles
Sculptés par la pointe aigue d'un calame savant.
Tablettes cunéiformes vestiges d'une vie d'avant
Si peu nombreuses, si précieuses
Témoignant là, dans leur retraite silencieuse
Qu'autrefois on écrivait aussi des contes et des lois
Que Gilgamesh se croyant Dieu ne fut que roi
Et qu'à rechercher la plante d'éternelle vie
Sagesse et douleur il apprit.

Vont-ils rester fermés ?
Tous ces livres à jamais oubliés
Goncourt, Renaudot, Fémina
Chaque année font leur cinéma
Et les pages s'empilent sans fin
Livres jetés au pilon sans témoin
Tant d'ouvrages n'auront jamais de lecteur
Pourtant fruit précieux d'un laborieux auteur
Ecoutez tous ce livres qui meurent en silence
Dans ce monde où a fleuri l'indifférence.