Mon cher Robert,
figure toi, que ce matin même, je fouillais dans mon grenier, à la recherche de je ne sais pas (j’adore fouiller)
et j’ai mis la main sur une vieille croûte qui mettait au premier plan des oliviers, et ceci m’a ramené dans
ma Provence natale , du temps où l’olivier était cher à mon cœur.
Aimer les oliviers me diras tu, ceci te paraît incongru.
C’est, que ma mère, Rose, avec sa sœur Pierrette, allaient glaner les olives vers la fin du mois de septembre
et les assaisonnaient à leur façon, elles faisaient le régal de notre table, qui était des plus frugales.
Plus triste fut l’année 1956, ou l’hiver fut si rigoureux, que ces arbres nobles et centenaires
furent gelés , et certains, j’usqu’à la racine.
D’autres, tels des SPHYNX , renaquirent de leurs cendres.
Note :Merci Antoine pour ton texte.
Désormais les amis des animaux refusent d'attribuer la qualificatif de gouttière à notre chat classiquement locataire de nos fauteuils. Il convient de le nommer chat européen, ce qui l'insère dans une étendue bien plus grande alors qu'il était bien, installé sur nos toitures à deviser avec le croissant de lune.
Van Gogh signai pour sa part Vincent et ton tableau, en partie effacé sur la signature, restera croûte à jamais.
Amitiés.
Publié le : Mercredi 02 octobre 2019 @ 11:21:51