Elle regardait l'horizon, perdue dans les pensées d'un passé douloureux.
le vent avait fraîchi, les vagues en crêtes blanches se mouraient à ses pieds.
que reste t il de nos amours, quand l'un de nous s'évade.
nous étions deux, et nous ne formions qu'un
et de vague en vague, jusqu'au creux des rochers
Dieu que j'aurais voulu, qu'il me soit épargné
et mourir à sa place, comme la Tarentine
mais on ne peut soi même écrire son destin
mes amours sont en pause, restent sans lendemain
Antoine
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